Le barde ( texte )

Sur les bords de cette rivière, celle ou des milliers de créature mythique dansé au gré du vent et de notre imagination .Je me remémore nos fous rire passé, nos jeux d'enfants qui devaient rester secret.
Dans mes souvenirs cet endroit était tout simplement splendide, des arbres en fleurs jaillissaient de terre fièrement laissant tomber leurs fleurs délicatement, poussé par le vent, retombé sur cette eau si pure qui scintillait de mille et un diamants.

Nous avions découvert cet endroit, lors de notre fugue ou nous n’avions que sept ans. Ce jour-là, le paysage nous laissé entrevoir un tout autre monde, celui ou toute chose a t’une vie.
Le vent transportait des fleurs, mais en regardant de plus près une forme humaine se dessiner, celle-ci dansait avec la brise chaude de l’été. De la musique ce fit  entendre, le vent glissait sur l’eau ce qui provoqué un son des plus mélodieux, le tout réunie n’était surement que pure folie. Les cris de nos parents nous firent sursauté, sans aucune parole nous décidions que ceci resterais secret.

Nous revenions chaque jour, chaque semaine, découvrant de nouvelle créature plus fascinante les unes que les autres. Avez-vous déjà diné avec un lumou ? Un lapin fais de terre et de feuille, un esprit de la rivière qui apporter joie et chance. Il nous raconta que le barde de la rivière  faisait vivre toutes sortes d’esprit mystérieux en leur insufflant le souffle du vent.
Nous n’avions que neuf ans, deux ans de bonheur autour de notre rivière a côtoyer un monde ou les adultes ne peuvent plus apprécier, n’y même tout simplement croire à la magie de la vie. Pourquoi cette nuit sommes-nous sortis ?
Tu avais vu le barde dans tes rêves, te demandant de l’aide car il courrait un grand danger ….  Tu t’ai réveillé à la suite de cet appel, puis nous sommes partis en pleine nuit. Une immense tempête c’était levé, la pluie tombé a torrent, des bourrasques de vent emporter les arbres naissant  sur leurs passage.

Je criais comme un fou pour te faire revenir à la maison, mais tu continuais à courir jusqu’à notre endroit, qui était devenu un paysage de pure enfer. La rivière coulait trop vite et tapé les racines des cerisiers qui s’y trouvais, dont l’un d’eux qui étaient tout à fait immense et qui était implanté au milieu de cette rivière. Le cerisier du barde.
Tu voulais prendre un tronc d’un autre arbre, déjà tombé, et faire barrage pour sauver le barde, tout cela n’était que folie, je n’eus pas le temps de réalisais vraiment tes geste que je te vis entreprendre ton idée et de réussir a détourner l’eau mais en voulant revenir vers le bord mon cœur était soulager un instant mais la seconde qui suis me fis perdre tous mes moyen …. Un torrent trop fort pour de pauvre enfant trop stupide … tu te fis engloutir par cette eau si sombre.
Mes larmes coulent encore aujourd’hui, notre imagination était allée trop loin …. je ne crus plus a tout ce monde enchanté qui nous faisaient rêver, car ce monde t’avais tuer. Je suis aujourd’hui devant cette rivière qui n’a pas perdu de son charme, vingt ans ce sont écoulé avant que je ne puisse faire face a ce paysage.
Le vent soufflé légèrement et emporter les fleurs de cerisier, un spectacle magnifique mais rien de magique. Comme un idiot, je fais demie tour et entreprend de m’en allé. Je jette un dernier regard sur ce paysage, espèrent avoir un signe d’un quelconque esprit, j’attends plus que de raison ….

Je souris en même temps qu’une larme se freine un chemin sur mon visage, tout n’était que pure invention ….
Je ne peux plus m’arrêter de pleurer, ma vision ce trouble ma tête me fais mal mon corps s’engourdit, jusqu’à ce que le noir envahisse mes pensé. Une lumière, deux, trois …. Un tapis de diamants, un vent souffla, de la musique ! Mes yeux s’ouvrent, le vent transporte des fleurs  et dessine une silhouette ! Je ne peux que reconnaitre ces traits de visage, ce corps qui est le tien ! Le vent te faisait te dresser fièrement devant moi, je t’ais enfin retrouvé !  
Les mots me manquent, mon cœur s’emballe … je m’avance vers toi, mon corps deviens léger a chaque pas que je fais vers toi. Je comprends ce qui m’arrive et l’accepte  …. Nous formerons pour l’éternité le vent insufflant la vie de ce monde magique qui est le nôtre.

belle poésie et de l'imagination. Au travers de tes mots il y a comme la douleur d'une jeunesse dont le temps est révolu. Mais en nous, vit toujours l'enfant que la société n'a pas réussi à tuer dans l'adulte que nous devenons.

bisou Joursheureux